Ils ont fait revivre une ruine italienne… et le résultat est bluffant !
Découvrez les architectes qui ont métamorphosé une ruine en une demeure éco-responsable
Après avoir acheté une vieille bâtisse en pierre délabrée dans les collines de la Ligurie, en Italie, Maddalena Cerruti et Vincent Baisnée, un couple d’architectes, ont entrepris d’en faire la maison écologique idéale.
Ils ont rénové la masure de fond en comble, pièce par pièce, en utilisant des matériaux naturels et d’origine locale, afin de transformer cette ruine en une maison respectueuse de la santé, de l’environnement et du patrimoine.
Parcourez la galerie photos pour plonger dans l’histoire de leur étonnant projet de rénovation, mené dans le respect de l’environnement.
Adaptation française par Stéphanie Lopez
Les grands esprits se rencontrent
Comment tout a donc commencé pour ce couple franco-italien ? « Nous nous sommes rencontrés en 2018 alors que nous faisions du volontariat pour une ONG dans le domaine de l’architecture en Tanzanie, raconte Maddalena. Nous avons rapidement réalisé que nous partagions la même vision de l’architecture durable et du design d’habitats écoresponsables. Après cela, nous avons travaillé en Australie et vécu dans un van aménagé pendant près de deux ans, pour économiser de l’argent. De retour en Europe, nous avons décidé de créer ateliermavi, notre cabinet d’architecture. Nous voulions que notre premier projet soit notre première maison ».
À la recherche d’une maison
Le couple s’est mis à la recherche d’une maison à rénover qui ne soit pas trop éloignée de leurs familles respectives. « Vincent est originaire d’Aix-en-Provence et moi, de Gênes. Nous avons commencé à consulter les annonces en ligne en France, mais nous n’avons rien trouvé qui corresponde à notre budget, alors nous nous sommes tournés vers l’Italie. Nous avons visité une dizaine de maisons jusqu’à ce que nous tombions sur une maison délabrée en Ligurie, près de la frontière entre nos deux pays ».
Le sauvetage d’une ruine
Cette vieille maison était mise en vente pour 65 000 euros, un prix supérieur au budget de Maddalena et Vincent. Cependant, comme elle était à l’abandon, sans électricité ni raccordement à l’eau, ils ont décidé de faire une offre d’achat à 44 000 euros. Étonnamment, elle a été acceptée. Avec les taxes et autres frais juridiques, le prix final s'est élevé à 53 000 euros.
Sur cette photo, on peut voir la maison lorsque le couple a reçu les clés. « Elle était en ruine, explique Vincent. Nous ne connaissons pas l’année exacte de sa construction, mais elle a au moins 100 ans. À la fin du XIXe siècle, elle a servi pour le pâturage des bêtes, puis de maison d’été familiale ».
En ruine mais pleine de charme
Construite en pierre locale, cette petite maison de 75 m² est idéale pour le couple et son chien, Caiù. Bien qu’elle nécessite d’importants travaux de rénovation, elle offre une vue imprenable sur la vallée environnante et regorge de charme et de potentiel.
Inoccupée depuis plus de 30 ans lorsque Maddalena et Vincent l’ont achetée, la maison avait été lentement engloutie par la nature. À l’intérieur, la végétation s'était infiltrée, accélérant la dégradation du bâti : le mortier s’effritait, les fenêtres étaient brisées, le toit en piteux état, et les pièces étaient envahies de débris, de détritus et grouillaient d’insectes nuisibles.
En avant !
L’idée de mener à bien un projet de rénovation aussi ambitieux effraie bien des jeunes couples, mais Maddalena et Vincent sont tous deux des architectes expérimentés et disposent déjà d’une bonne base de connaissances. « Pendant notre séjour en Tanzanie, nous avons participé à la construction d’une maison en adobe, un mélange de paille et d’argile, pour un médecin, raconte Vincent. Maddalena avait déjà participé à un projet similaire au Ghana et, même si nous n’avons pas assuré toute la gestion du projet tanzanien, cela nous a donné la motivation nécessaire pour nous lancer ».
Bien sûr, il fallait réparer et restaurer l’ensemble de la structure, mais pas que : le terrain était également envahi par la végétation et nécessitait une attention immédiate.
Les sept jardins en terrasse
Le jardin de 3 000 mètres carrés s’étend sur sept terrasses étagées. La première tâche, titanesque, a donc consisté à nettoyer le site et à s’attaquer aux plantes envahissantes qui avaient peu à peu pris le dessus.
Durant l'hiver 2020-2021, le couple s'est attelé à l'entretien de son terrain et, après de longues semaines de travail acharné, a réussi à en tracer les limites. Cependant, le débroussaillage intégral du jardin a pris six mois. Ensuite, le couple a ajouté quelques plantes et cultures à son potager.
Et maintenant, l’intérieur !
Une fois le jardin nettoyé, le couple a pu commencer à déblayer l’intérieur de la maison. Ce travail colossal a constitué une première étape essentielle, car il a permis à Maddalena et Vincent de voir enfin la taille et la forme de l’intérieur de leur maison. En effet, le couple avait prévu de tout démolir et reconstruire en utilisant des matériaux et des techniques écologiques.
« Pour nous, l’architecture ne peut se concevoir sans matériaux naturels, qu’ils soient réutilisés, recyclés ou rendus à la nature, tout en affichant une empreinte carbone faible, voire négative, explique Maddalena. Le bois, la chaux, la terre et la paille permettent à la maison de respirer et créent un environnement sain pour ses occupants ».
Le démontage de la toiture
Après avoir vidé l’intérieur, Maddalena et Vincent ont pu s’attaquer à l’un des plus gros travaux de leur projet de rénovation : la vieille toiture.
Elle était en piteux état et devait donc être soigneusement démontée et reconstruite, en utilisant des produits et des matériaux qui assureraient l’étanchéité et la solidité de la structure. Tout a dû être enlevé, des vieilles tuiles à la charpente en bois en mauvais état.
Les vestiges d’une ruine
Outre le toit, le couple a également dû démolir les murs intérieurs. « Ils étaient en partie faits de ciment, d’argile et de chaux et s’effritaient. C’était donc une étape obligatoire de la rénovation », explique Maddalena. Ils ont ensuite consacré beaucoup de temps et d’énergie à enlever le vieux plâtre qui recouvrait les autres murs de la structure.
Étonnamment, le couple a retiré à lui seul 4 m³ de vieux plâtre. « Une fois cela fait, nous avons pu appliquer une nouvelle couche d’enduit composée d’un mélange de chanvre et de chaux sur les murs intérieurs. Cela permet d’obtenir une isolation naturelle qui contribue à maintenir la chaleur dans la maison. »
Vous aimez ce type de contenu ? Cliquez sur le bouton Suivre en haut de la page pour découvrir d’autres articles signés loveEXPLORING.
Des problèmes structurels
En novembre 2021, le couple a fait appel à des entrepreneurs locaux pour abattre le mur de pierre situé à l’arrière de la maison. « Nous aimons bricoler et nous lancer dans l’autoconstruction, mais légalement, il est impossible de rénover une maison entièrement par ses propres moyens en Italie. La réglementation italienne autorise le bricolage uniquement dans le cadre de l’edilizia libera, qui se limite aux travaux de finition tels que la peinture, la pose de sols et d’enduits », explique Vincent.
Le mur arrière étant en très mauvais état, ils ont dû le démolir et creuser un vaste trou dans le terrain afin d’installer un nouveau mur de soutènement. Ce dernier (visible sur la photo) retient un talus de terre, ce qui permet de construire en toute sécurité de nouveaux murs extérieurs à l’arrière de la maison.
La reconstruction de la toiture
Après plusieurs mois d’attente, le couvreur engagé par le couple a enfin pu entamer la construction d’un nouveau toit moderne. Ensemble, ils ont fabriqué et installé des chevrons en bois neufs, sur lesquels ont été posés des panneaux isolants en fibre de chanvre.
« Nous voulions recouvrir le toit avec des traditionnelles coppi, typiques des pays méditerranéens, ou des tuiles d'inspiration portugaise », explique Vincent. Nous avons même envisagé de poser de grandes dalles de pierre, comme c’était le cas à l’origine. Malheureusement, la municipalité a exigé que le toit soit recouvert de tuiles marseillaises, avec une finition plate. Nous avons donc dû nous conformer à de nombreuses règles dictées par les codes de construction nationaux et locaux ».
Récupération de matériaux
Lors du démontage de la toiture, le couple a réussi à sauver deux poutres en châtaignier et a choisi de les conserver au lieu de les jeter.
Ils ont utilisé ce bois pour fabriquer une douzaine de linteaux pour leurs fenêtres. « Nous avons coupé les poutres à la longueur voulue, puis nous les avons poncées ; après quoi, nous avons traité le bois et enfin, nous avons placé les linteaux au-dessus des encadrements de fenêtres », explique Maddalena.
L’étanchéité de la toiture
Après neuf mois passés à l'air libre, le nouveau toit est enfin terminé !
Après quoi, Maddalena et Vincent ont pu commencer à reconstruire les murs extérieurs qu’ils avaient été contraints de démolir. Objectif : créer la salle de bains et la cuisine. « Nous avons utilisé des blocs de chanvre de 30 cm sur une base de parpaings pour isoler les nouveaux murs du sol », explique Maddalena. Et nous n’avions d’expérience dans aucun de ces deux domaines ! »
Entre tradition et modernité
Sur cette photo, on peut voir les nouveaux murs une fois terminés. Le couple les a ensuite recouverts des pierres qu’ils avaient récupérées afin de garantir l’uniformité de l’extérieur. « Le processus a été très long et difficile, mais nous y sommes finalement parvenus », explique Vincent.
Des matériaux écologiques
Sur cette photo, on peut admirer le résultat : les nouveaux murs arrière, construits jusqu’au mur de soutènement en béton, sont recouverts de pierres locales et surmontés d’un toit flambant neuf. Mais comment le couple s’est-il procuré tous ces matériaux écologiques ?
« Après quelques recherches, nous avons trouvé des fournisseurs à proximité et nous nous sommes constitué peu à peu un solide réseau de distributeurs et de fabricants de produits éco-responsables, explique Maddalena. Nous avons aussi fait le tour des brocantes de la région ».
À présent, le plancher !
Enfin, il était temps de commencer les travaux sur le plancher intérieur. L’entrepreneur choisi par le couple a creusé la terre jusqu’à une profondeur de 35 cm pour s’assurer que le niveau du sol intérieur correspondait au niveau du sol extérieur.
« Nous avons ensuite ajouté une couche de gravier pour assurer la ventilation du sous-plancher », explique Vincent. Puis, nous avons coulé une chape de béton de chanvre par-dessus pour apporter la touche finale à notre sous-plancher isolant ».
La création de pièces
Une fois la chape posée, le duo a pu monter les murs à ossature bois pour créer les pièces intérieures. « Pour exploiter au maximum la lumière naturelle, nous avons choisi de placer les pièces à vivre au sud de la maison », explique Maddalena.
L’isolation, encore l’isolation, toujours l’isolation
Une fois les murs à ossature bois en place, le couple a commencé à installer des cloisons sèches (Fermacell) et une isolation en fibres de chanvre pour conserver la chaleur à l’intérieur.
En limitant les pertes de chaleur par les murs intérieurs, cette isolation a permis d’optimiser les performances thermiques de la maison.
Des fenêtres sur mesure
Le couple a ensuite demandé aux entrepreneurs engagés de renforcer les fenêtres avant d’y poser le vitrage, en réutilisant les poutres en chêne récupérées de la toiture.
Ils ont fait appel à un menuisier de la région pour concevoir des fenêtres en bois sur mesure, un investissement de 18 000 euros. Cette somme peut sembler conséquente, mais des fenêtres bien isolées et performantes sont essentielles pour garantir une maison saine et économe en énergie.
L’étanchéité à tout prix
Sur cette photo, on peut voir les nouvelles fenêtres en bois une fois posées. La maison est désormais étanche à l'air et à l'eau, ce qui permet au couple de s'attaquer à des travaux intérieurs plus conséquents.
Les difficultés de l’enduisage
L'un des principaux travaux a été de recouvrir d'enduit tous les murs intérieurs, y compris les murs en blocs de chanvre situés à l'arrière. Cette photo capture le moment où le couple termine d'enduire le dernier mur de leur maison, en juin 2023.
« On a passé beaucoup de temps à préparer nos murs en Fermacell avant de pouvoir les enduire, explique Vincent. Il a fallu remplir, gratter, aspirer et enduire de boue ».
L’habillage des pierres
Bien entendu, les murs en pierre d’origine nécessitaient également une attention particulière. Le couple avait déjà retiré tout le vieux mortier et le béton recouvrant les murs intérieurs ; une fois les fenêtres installées, ils ont pu entamer le rejointoiement des pierres, c’est-à-dire refaire leurs joints.
Que la lumière soit !
Sur cette photo, on peut voir l’espace de vie principal terminé, avec son magnifique plafond en bois, ses murs en plâtre de chaux et ses fenêtres en bois. En octobre 2023, la maison disposait enfin de l’électricité et, surtout, de la lumière.
« Nous avons patienté trois ans avant d’avoir enfin de la lumière, explique Maddalena. Après cela, nous avons pu peindre les murs et poser le sol ».
La pose du sol
Pour le sol intérieur, le couple a retenu des briques de terre cuite récupérées, qui ont dû être soigneusement préparées avant leur pose. « Il a fallu poncer toutes les briques et les laisser tremper dans l’eau pendant au moins 24 heures, pour éviter qu’elles n’absorbent l’eau de la chape pendant la pose, explique Vincent. Ensuite, nous avons fabriqué un mélange de chape, aussi appelé mortier de chape, puis nous l’avons appliqué sur le sol en veillant à ce qu’il soit au même niveau sur toute la surface. Nous avons ensuite saupoudré un peu de chaux sur la chape et l’avons légèrement humidifiée avant de poser les briques en terre cuite par-dessus ».
Dans certaines pièces, Maddalena et Vincent ont posé le carrelage selon un motif linéaire simple, tandis que dans d’autres, ils ont opté pour un joli motif à chevrons. « Le plus difficile a été de gérer la différence d’épaisseur entre tous les carreaux, explique Vincent. Nous avons ensuite réalisé les joints et les avons traités de façon naturelle pour les sceller ».
Un salon confortable
Le couple a également fabriqué lui-même le support pour son tout nouveau poêle à bois, qui décore l’espace de vie principal.
« Notre maison est chauffée par un poêle à bois qui s’avère très efficace et, pour réduire la consommation de notre chauffe-eau électrique, nous avons installé un système thermo-solaire, explique Vincent. La maison étant assez compacte et bien isolée, cela suffit pour avoir un espace de vie particulièrement confortable, en hiver comme en été ».
Un espace de vie accueillant
Cette superbe pièce est l’espace de vie ouvert de la maison. D’un côté, on trouve la salle à manger, et de l’autre, un salon confortable. Le plafond et le poêle à bois ajoutent une touche chaleureuse à la pièce.
Les meubles que l’on peut voir sur la photo proviennent principalement de magasins d’occasion situés dans la région.
L’idéal pour recevoir
Voici la salle à manger, parfaite pour des repas simples en semaine ou pour recevoir. Elle offre suffisamment d’espace pour une soirée intime, avec sa table positionnée à côté de plusieurs fenêtres et d'une porte vitrée menant à un patio extérieur.
Une cuisine en kit
La cuisine est située à l’arrière de la maison, à côté de la salle de bains. Dans cette partie de la maison, le couple a utilisé au sol des carreaux en terre cuite qu’ils avaient récupérés, et a acheté une cuisine en kit de la marque Cubro.
« Les placards sont fabriqués en contreplaqué de bouleau et en linoléum, un matériau d’origine naturelle, composé de poudre de liège, de résine de conifère et d’huile de lin », explique Maddalena.
Un coin cuisine éco-responsable
Le couple a assemblé lui-même les éléments de la cuisine avant de les installer le long d’un mur.
Maddalena et Vincent ont ajouté une crédence en acier inoxydable et créé une niche intégrée qui fait office de garde-manger pour ranger les denrées de base.
Des murs de salle de bains polis
Le couple avait bien sûr besoin d’une salle de bains. Pour ce faire, ils ont d’abord appliqué un sol à la chaux et une chape, puis enduit les murs de chaux brute avant de poser un enduit traditionnel imperméable, appelé « pastellone ». « Cet enduit a été l’un des éléments les plus difficiles à réaliser dans le projet », se souvient Vincent.
Le « pastellone » se compose historiquement de deux couches : le substrat, fait de chaux éteinte et de matériaux inertes, et la « pastina », un mélange en parts égales de poudre de marbre et de chaux éteinte. Le tout est appliqué en plusieurs couches puis poli, résultant en une surface compacte, durable, lisse et brillante, tout en étant écologique et conforme aux principes de la construction verte.
Envie d’une douche relaxante ?
En décembre 2023, un plombier est venu trier les appareils sanitaires et, un mois plus tard, l’installation de traitement des eaux usées a été mise en place. Ces photos montrent la salle de bains principale une fois les travaux terminés.
Décoré dans les tons riches et texturés du « pastellone » rose tendre, l’espace comprend une douche à l’italienne artisanale, avec une colonne de douche sans cadre, des toilettes, un lavabo et un bidet. Des lampes suspendues en forme de globe sont accrochées au plafond, ajoutant une touche de raffinement à la pièce.
Un patio avec des pierres de récupération
Le couple a également aménagé un joli patio en utilisant les anciennes dalles de pierre qui se trouvaient à l’origine à l’intérieur de la maison. Ils prévoient également de refaire eux-mêmes les joints des murs extérieurs ultérieurement.
Qu’ont-ils appris au cours du projet ? Beaucoup ! Aussi bien sur le plan professionnel qu’humain. « Ces trois dernières années, nous avons acquis de nombreuses compétences techniques, mais nous avons avant tout découvert notre endurance, explique Maddalena. La rénovation nous a permis d’aller au-delà de notre profession et d’associer deux aspects différents de l’architecture : la théorie et la pratique. Nous sommes convaincus que ce n’est qu’en combinant ces deux domaines que l’on peut parvenir à une connaissance approfondie des différents matériaux et techniques ».
De l’arrière-cour, une vue époustouflante
Désormais installés dans leur cocon italien restauré, Maddalena et Vincent admettent qu’il reste encore de nombreux détails à finaliser. « Malheureusement, la maison n’est pas encore terminée », confie Vincent.
« Ce qui nous rend le plus heureux, c’est sans aucun doute le confort thermique à l’intérieur. En posant une toiture isolée, en réduisant au maximum les ponts thermiques et en appliquant un enduit thermique à base de chaux et de chanvre, nous avons fait grimper la maison de la classe énergétique G à la A4 (la plus performante !) ».
Et après ?
Nous avons demandé à Maddalena et Vincent de donner quelques conseils à ceux qui souhaiteraient entreprendre un projet similaire. Leur approche se révèle très pragmatique. « Ne sous-estimez jamais le travail à fournir ni le budget nécessaire, ont-ils confié. Il faut aussi savoir tenir bon dans les moments difficiles – toutes les rénovations en comportent –, mais le jeu en vaut la chandelle. Entreprendre une rénovation tout en lançant un cabinet d’architecture indépendant n’est pas une mince affaire. Aujourd’hui, nous sommes heureux de mettre nos compétences et nos connaissances au service de nos clients ».
Si vous souhaitez que Maddalena et Vincent vous aident à concevoir votre projet de rénovation, n’hésitez pas à les contacter. Découvrez les vidéos qui retracent leur incroyable rénovation sur leur chaîne YouTube et tenez-vous au courant de leurs progrès via leur page Instagram.
Vous avez aimé ce contenu ? Cliquez sur le bouton Suivre en haut de la page pour découvrir d’autres articles de loveEXPLORING.
Comments
Be the first to comment
Do you want to comment on this article? You need to be signed in for this feature