Durant les Années folles, l’économie mondiale prend son envol, la fin de la Première Guerre mondiale redonne de l’optimisme et les vols commerciaux font leur apparition. La réunion de ces éléments entraîne alors une augmentation significative des voyages, tant nationaux qu’internationaux, permettant à de nombreux individus de découvrir de près, pour la première fois, certains des plus célèbres monuments au monde.
Découvrez sans attendre ces lieux emblématiques il y a 100 ans et aujourd’hui…
Adaptation française par Aurélie Blain
Avec son imposante structure néoclassique de 50 mètres de haut, l’Arc de Triomphe ne laisse personne indifférent. Ce n’est pas étonnant qu’il ait fallu 30 ans pour construire ce monument grandiose, commandé par Napoléon Ier en 1806. Situé au centre de la place de l’Étoile, ainsi nommée en raison de la disposition des avenues qui la rejoignent, le célèbre monument est immortalisé ici en 1929, entouré de réverbères électriques, une innovation que Paris fut la première ville au monde à adopter en 1878.
En plus de sculptures spectaculaires représentant des victoires militaires à l’extérieur des quatre piliers du monument, on trouve à l’intérieur les noms de généraux français tombés au combat. Inauguré en 1836, l’Arc de Triomphe accueille régulièrement de grandes cérémonies, dont le départ du défilé militaire du 14 Juillet et l’arrivée spectaculaire du Tour de France. Aujourd’hui, les visiteurs qui gravissent ses 280 marches sont récompensés par une vue panoramique sur Paris à couper le souffle.
Peut-être même plus célèbre que la ville qu’il surplombe, le panneau Hollywood est érigé en 1923, portant à l’origine l’inscription « Hollywoodland ». Dans les années 1920, Hollywood commence à s’imposer comme centre de l’industrie cinématographique. Le promoteur immobilier Harry Chandler fait alors ériger ce panneau pour promouvoir son nouveau lotissement haut de gamme. Il est photographié ici en 1925, avec un groupe de géomètres. S’il ne devait au départ rester qu’un an et demi, ce symbole incontournable domine la ville de Los Angeles depuis près d’un siècle.
Quand a-t-il perdu ses quatre dernières lettres ? Pendant la Grande Dépression des années 1930. Le projet immobilier « Hollywoodland » fait alors faillite et son panneau n’est plus entretenu. Lorsqu’il passe sous gestion municipale dans les années 1940, on envisage de le démolir, mais la Chambre de commerce d’Hollywood décide de retirer le mot « land » pour simplifier le message. Dans les années 1970, le panneau est entièrement reconstruit grâce au financement d’Hugh Hefner et d’autres donateurs célèbres. Aperçu sur cette photo depuis les rues de Los Angeles, ce panneau est devenu indissociable de la capitale du cinéma.
Jusqu’aux années 1880, Times Square (alors appelé Longacre Square) n’est qu’un espace relativement vide entouré d’immeubles résidentiels. Tout change en 1904, lorsque le New York Times installe son siège dans un immense gratte-ciel de la place, donnant ainsi son nom à Times Square. Dans les années 1920, l’ouverture de nouvelles lignes de métro et de bus et leurs arrêts sur la 42e rue font finalement de Times Square le centre névralgique de la ville.
Devenu la Mecque de la criminalité et du divertissement pour adultes, la réputation de Times Square décline dans les années 1960 et 1970. C’est d’ailleurs là qu’on relève à la fin des années 1970 le plus grand nombre d’infractions signalées de toute la ville de New York. À partir des années 1980, des investissements massifs permettent de transformer la place. Aujourd’hui, elle est célèbre pour ses gigantesques panneaux publicitaires et ses néons lumineux, attirant les touristes du monde entier, même si les habitants lui préfèrent souvent des quartiers plus calmes.
Aujourd’hui symbole incontournable de Paris, la Tour Eiffel a pourtant suscité de vives critiques à ses débuts. De nombreux Parisiens la trouvaient laide et estimaient que sa structure métallique détonnait avec l’esthétique traditionnelle de la ville. Conçue par l’ingénieur français Gustave Eiffel pour l’Exposition universelle de 1889, elle avait été choisie parmi plus de 100 projets de nouveaux monuments. Malgré l’opposition farouche de certains, la célèbre tour a finalement vu le jour.
Malgré une controverse initiale, la construction de la Tour Eiffel est achevée le 31 mars 1889. Initialement destinée à être démontée 20 ans après, la tour est réutilisée comme antenne radio dans les années 1890, poussant les autorités à la conserver. Et heureusement ! Car elle accueille aujourd’hui près de sept millions de visiteurs chaque année et demeure l’un des sites les plus visités de France.
Le Taj Mahal, photographié ici en 1924, est de loin le monument le plus célèbre d’Inde. Construit entre 1631 et 1648 par l’empereur Shah Jahan en l’honneur de sa femme bien-aimée Mumtaz Mahal, décédée en couches, ce mausolée de marbre blanc à la symétrie parfaite est considéré comme l’un des plus beaux exemples d’architecture moghole, combinant des influences persanes, indiennes et islamiques.
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Aussi immaculé qu’il puisse paraître, le Taj Mahal a subi de nombreux dégâts dus à des années de négligence. À la fin du XIXe siècle, il a fait l’objet d’une importante restauration sous l’ordre de Lord Curzon, vice-roi britannique de l’Inde. Aujourd’hui, on s’inquiète davantage de la pollution de l’air due aux usines voisines et aux voitures, menaçant de ternir l’éclat de son marbre. Pour préserver ce joyau, le nombre de visiteurs est désormais limité à 40 000 par jour.
Érigé il y a plus de 2000 ans, le Colisée de Rome émerveille les visiteurs depuis des siècles et des siècles. Cet amphithéâtre colossal, mesurant 199 mètres sur 150, a été construit entre 70 et 80 après J.-C. pour accueillir jusqu’à 50 000 spectateurs. Cependant, à la suite de tremblements de terre et d’un abandon notable, environ deux tiers de sa structure d’origine ont disparu.
Des restaurations majeures entreprises dans les années 1990 ont permis de préserver ce monument emblématique. Aujourd’hui, bien qu’il ne serve plus aux combats de gladiateurs, il accueille des expositions sur la Rome antique et compte environ cinq millions de visiteurs par an. En mai 2021, le gouvernement italien a annoncé un nouveau projet de restauration, incluant l’installation d’un plancher rétractable pour offrir aux visiteurs une vue similaire à celle qu’avaient les gladiateurs autrefois. Les travaux devaient être livrés en 2023, mais personne ne saurait en dire plus à ce jour.
Dans les années 1920, les croisières au long cours sont en plein essor et permettent à l’élite mondiale fortunée de découvrir pour la première fois des destinations lointaines. L’Égypte, avec ses nombreux trésors antiques, devient rapidement une destination prisée. Sur cette photo de 1923, un groupe de touristes américains pose devant le Sphinx de Gizeh. Cette impressionnante sculpture en calcaire, mesurant 20 mètres de haut et 73 mètres de long, a été édifiée il y a environ 4 500 ans sous le règne du pharaon Khéphren.
Cette statue monumentale, située sur le plateau de Gizeh près de la Grande Pyramide, représente un sphinx, une créature mythologique au corps de lion surmonté d’une tête humaine. Ce n’est qu’au début du XIXe siècle que son corps est découvert, lorsqu’un explorateur génois et une équipe d’environ 160 hommes entreprennent de l’exhumer. Leur tentative n’aboutit pas et le sphinx n’est entièrement dégagé qu’à la fin des années 1930. Si vous regardez attentivement la photographie précédente, vous remarquerez que ses pattes ne sont pas encore visibles.
Dominant la charmante Pariser Platz à Berlin, la Porte de Brandebourg est un lieu chargé d’histoire. Construite entre 1788 et 1791 pour servir d’entrée monumentale à la ville, cette porte néoclassique fut ornée peu après d’un « quadrige ». Le char tiré par quatre chevaux fut cependant volé par Napoléon Bonaparte en 1806 et restitué seulement huit ans plus tard, après son abdication. Sur cette image de 1928, un dirigeable Graf Zeppelin, l’un des plus grands succès de l’aéronautique d’autrefois, survole la célèbre porte.
Figurant parmi les rares monuments majeurs de Berlin à avoir survécu à la Seconde Guerre mondiale, la porte est devenue un symbole de la division entre l’Est et l’Ouest, puis de leur réunification. En 1961, lorsque le mur de Berlin a été érigé, elle fut enfermée dans une zone d’exclusion, rendant son accès impossible. Depuis la réunification de Berlin en 1989, elle est devenue l’un des sites les plus fréquentés de la ville.
Sur les 5 000 ans d’existence de Stonehenge, un siècle paraît peu de chose. Considéré comme l’un des monuments préhistoriques les plus emblématiques au monde, cet impressionnant cercle de pierres a été érigé en six étapes, entre 3000 et 1520 av. J.-C. Il est composé de deux types de roche : d’imposantes pierres de sarsen et des pierres bleues, plus petites. Étonnamment, ces dernières (pesant entre deux et cinq tonnes chacune) auraient été transportées depuis les collines de Preseli au Pays de Galles, soit à environ 322 km de là. Stonehenge a vu sa fréquentation augmenter à l’époque victorienne, mais face aux actes de vandalisme provoqués par un tourisme non encadré, un droit d’entrée a été mis en place dès 1901.
Si le site lui-même n’a guère changé au cours du siècle dernier, Stonehenge a été témoin de nombreux événements. En 1985, 600 voyageurs venus sur le site pour participer au Stonehenge Free Festival se sont vus accueillir par 1 000 policiers. Les affrontements qui s’en sont suivis, connus sous le nom de « bataille de Beanfield », ont duré plusieurs heures et conduit à 537 arrestations. Depuis 2013, Stonehenge dispose d’un centre d’accueil moderne offrant une expérience immersive à 360 degrés et une exposition mettant en valeur les artefacts préhistoriques découverts sur le site. Ces dernières années, une clôture a été installée pour empêcher les visiteurs d’accéder directement à la structure de pierre.
La splendide péninsule mexicaine du Yucatán regorge de sites archéologiques mayas, et Chichén Itzá est sans conteste le plus impressionnant d’entre eux. Occupant un territoire de 10 km², cette cité est fondée vers le VIe siècle, devenant rapidement un centre économique et politique dans la région, accueillant environ 35 000 habitants à son apogée. Abandonnée au XVe siècle, elle finit par tomber en ruine, jusqu’à ce que des fouilles commencent au début du XXe siècle. Sur cette photo de 1923, un touriste pose devant le monastère de Casa de las Monjas.
Cette cité préhispanique abrite plusieurs monuments remarquables, dont la pyramide d’El Castillo, le temple des Guerriers et le terrain de jeu de balle, une ancienne arène sportive. Les archéologues continuent de faire des découvertes fascinantes : en 2016, grâce à des techniques d’imagerie modernes, ils ont mis au jour une pyramide plus petite à l’intérieur d’El Castillo, confirmant que la structure a été construite comme une poupée gigogne. Ce site très prisé attire environ deux millions de visiteurs chaque année.
L’achèvement du majestueux Duomo de Milan a nécessité six siècles, de nombreux dirigeants et des milliers d’ouvriers. Sa construction a d’ailleurs été si longue, qu’elle a engendré une expression populaire pour parler d’une tâche interminable : « lungh me la fabrica del Domm », qui signifie « long comme la construction du Duomo » en dialecte milanais. Lancé en 1386 sous la houlette du duc de Milan Giangaleazzo Visconti, le projet est interrompu en 1418. Au XVIe siècle, les travaux reprennent sous la direction de l’archevêque Borromeo et la façade est finalisée sous Napoléon au XIXe siècle. Sur cette photo de 1922, la cathédrale n’est toujours pas tout à fait terminée !
Les dernières finitions, comme l’installation des portes et des ornements néogothiques, sont réalisées entre 1909 et 1965. Aujourd’hui, il est difficile de ne pas être émerveillé devant cet édifice monumental. Environ six millions de visiteurs par an viennent admirer le Duomo, ses statues, ses gargouilles et ses flèches sculptées dans un marbre rose étincelant.
Photographié ici un peu plus de vingt ans après sa construction, le Tower Bridge a été achevé en 1894. Ce pont de 61 mètres de haut et 240 mètres de long était alors le plus grand et le plus complexe des ponts basculants de son époque. Ce type de pont, constitué de deux sections mobiles, peut se lever pour laisser passer les bateaux. À l’origine, la vapeur qui permettait d’actionner les bascules permettait d’ouvrir intégralement le pont en une minute seulement, mais aujourd’hui, le système est rarement utilisé.
Cette construction unique est très présente dans l’imaginaire collectif. En 1952, Albert Gunter conduisait le bus de la ligne 78 de Londres lorsqu’une bascule du pont a commencé à se lever. Il a dû accélérer pour que le bus franchisse rapidement l’ouverture. Par miracle, aucun des 20 passagers n’a été blessé, et seul Albert s’est retrouvé avec la jambe cassée. Plus récemment, on a pu voir un hélicoptère transportant une doublure de feu la reine Élisabeth II traverser le Tower Bridge, lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Londres en 2012.
Signifiant « ville haute » en grec, l’Acropole est un site majestueux perché sur une colline escarpée dominant la ville d’Athènes. Les premières pierres de la cité ont été posées au XIIIe siècle av. J.-C., pour la construction de fortifications autour de la résidence du souverain mycénien de l’époque. C’est durant l’âge d’or d’Athènes, au Ve siècle av. J.-C., que les monuments les plus célèbres de l’Acropole, tels que la porte des Propylées, les temples du Parthénon et de l’Érechthéion, voient le jour. Ce site devient une destination touristique très prisée au début du XXe siècle, comme en témoigne cette photographie prise en 1925.
La longue histoire de l’Acropole n’est toutefois pas exempte de controverses. En 1803, un noble britannique, le comte d’Elgin, fait transporter de nombreuses sculptures antiques vers l’Angleterre et les revend au British Museum, où elles se trouvent encore aujourd’hui. Malgré l’autorisation donnée par le gouvernement turc de l’époque, les gouvernements grecs successifs réclament leur restitution depuis 1832 et cette affaire continue de faire parler d’elle en 2025. L’Acropole n’en est pas moins l’un des sites les plus populaires de Grèce, au point qu’une limite de 20 000 visiteurs par jour a dû être instaurée.
Saluée par un groupe de marins sur cette photo de 1920, la Statue de la Liberté est offerte aux États-Unis par la France à la fin du XIXe siècle. Imaginée par le sculpteur français Frédéric-Auguste Bartholdi, cette statue colossale de 93 mètres de haut en cuivre martelé s’élève sur Liberty Island. Sa teinte verte caractéristique est le résultat de l’oxydation du cuivre sous l’effet du soleil et de la pluie.
Aujourd’hui, peu de sites touristiques new-yorkais rivalisent avec la Statue de la Liberté. Environ quatre millions de visiteurs s’y rendent chaque année, et un musée inauguré sur Liberty Island en 2019 permet d’approfondir l’histoire de ce monument emblématique. Les visiteurs peuvent également gravir les marches qui mènent jusqu’à la couronne pour admirer la vue.
Situé sur les rives de la Tamise, le palais de Westminster est construit entre 1837 et 1860, même si l’histoire du site remonte à bien plus loin. Un palais royal avait été érigé sur le site dès le XIe siècle, avant d’être détruit par un incendie en 1512. C’est au célèbre architecte Charles Barry que l’on doit ce bâtiment néogothique, comprenant 1 100 pièces réparties sur un site de trois hectares.
Ce monument emblématique a été témoin de nombreux événements historiques et surmonté plusieurs épreuves de taille. Gravement endommagé par une bombe en 1885, il est également frappé quatorze fois pendant la Seconde Guerre mondiale et visé par l’IRA en 1974. Aujourd’hui, en plus d’attirer des foules de touristes, le palais est souvent le théâtre de manifestations, le plaçant fréquemment sous les feux de l’actualité.
Dédié au premier président des États-Unis, cet obélisque majestueux en granit et en marbre du Maryland se dresse fièrement depuis près de 140 ans. Le Washington Monument a ouvert au public en 1888, quarante ans après la pose de sa première pierre. Photographié ici en 1922, il se situe au cœur d’un alignement géométrique parfait de monuments, incluant la Maison-Blanche au nord, le Capitole à l’est, le mémorial Jefferson au sud et le mémorial Lincoln à l’ouest.
Le monument a connu plusieurs restaurations majeures : la première dans les années 1930, suivie de travaux dans les années 1960, 1990 et 2010. En 2011, un séisme de magnitude 5,8 a causé des dégâts importants, provoquant plus de 150 fissures, ce qui a entrainé une fermeture du Washington Monument de trois ans. Aujourd’hui, avec plus de 800 000 visiteurs annuels, il demeure la plus haute structure en pierre du monde.
Composée d’environ 40 000 colonnes de basalte hexagonales surgissant des côtes du comté d’Antrim, la Chaussée des Géants serait, selon la légende locale, l’œuvre du géant irlandais Finn MacCool. Les scientifiques estiment que ces formations rocheuses fascinantes ont été constituées il y a de cela 50 à 60 millions d’années : de la lave s’écoulait alors dans la mer, se refroidissait et se fendait au contact des eaux glacées.
Révélée au grand public pour la première fois en 1693, cette côte à l’aspect surnaturel est devenue un lieu prisé de la classe aisée victorienne, qui s’y rendait grâce au chemin de fer. La ligne de train en question est d’ailleurs toujours en activité au départ de Bushmills. Devenue propriété du National Trust, l’organisation de préservation britannique ; en 1961, le périmètre de la Chaussée a gagné 80 hectares supplémentaires avant son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1986. En 2012, un centre d’accueil moderne, doté d’un toit végétalisé, a été inauguré après l’incendie de l’ancien bâtiment. Aujourd’hui, environ 400 000 visiteurs s’y rendent chaque année.
Les chutes de Horseshoe, American et Bridal Veil forment collectivement la plus grande cascade d’Amérique du Nord en volume d’eau. Situées à cheval entre les États-Unis et le Canada, les chutes du Niagara donnent leur nom à une ville et une région, dont la prospérité repose sur l’attrait touristique de ces cascades grandioses. Elles attirent les visiteurs depuis environ 200 ans, notamment depuis l’ouverture du canal Érié en 1825, qui a rendu ce site accessible à tous, et pas seulement aux plus fortunés. En 1883, la Réserve des chutes du Niagara voit le jour, devenant le premier parc d’État. Cette photographie prise en 1924 témoigne de cet héritage.
Longtemps considérées comme la « capitale mondiale des lunes de miel », les chutes du Niagara inspirent des mariages emblématiques, des chansons célèbres et des films hollywoodiens tout au long des XIXᵉ et XXᵉ siècles. Par la suite, elles deviennent le théâtre d’une marchandisation effrénée et de nombreuses prouesses publicitaires, de la traversée sur corde raide à la descente en tonneau. Depuis 2024, le nouveau site The Tunnel, aménagé dans la centrale électrique de Niagara Parks, offre une vue inédite des chutes depuis une plateforme d’observation.
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